ARCHITECTURE VERNACULAIRE

CERAV

DISPOSITIFS D'IRRIGATION À NONZA AU CAP CORSE (HAUTE-CORSE)

Irrigation devices at Nonza in the Cap Corse region, Haute-Corse

Jean-Pierre Guillet

 

14 - LES RÉSERVOIRS (2e PARTIE)

Le réservoir No 7

 

Avec le réservoir 30 déjà présenté dans une précédente page, il poursuit l’exposé des réservoirs que j’appelle « complexes » en raison de leur implantation, de leur architecture et/ou de détails suscitant des interrogations pour une grande part sans réponse à ce jour. Faute de pouvoir réaliser une photo d’ensemble, je place en fin de paragraphe un dessin perspectif (Figure 26) qui permettra de s’y retrouver.

Fig. 20 : Cuve rectangulaire du réservoir No 7.

Celui-ci est (Figure 20) assez proche du 4. On y accède en montant le talus à droite du chemin en direction du NNE. La cuve, de section rectangulaire, est orientée nord-sud. Elle mesure L 4,4 x l 2,6 x h 1,15 = 13 m3. Comme la plupart des autres, elle est malmenée par la végétation. Quand on descend dedans et qu’on regarde sa face est, on découvre, au-dessus de la margelle, un tunnel de section rectangulaire (Figure 21) et qui s’enfonce de 5 m sous la terrasse supérieure. C’est donc le débouché d’une source privée. Curieusement, il a été étayé non par de grandes lauzes mais par des poutres – probablement en châtaignier – qui ont plutôt bien résisté au temps et aux intempéries en dépit d’absence d’entretien.

Fig. 21 : Le premier tunnel débouchant directement sur la cuve.

Le sol du tunnel héberge de nombreux tessons de tuyaux en terre cuite. Au fond, une photo prise au flash révèle de plus gros fragments. La solidité incertaine de la structure m’a dissuadé de l’explorer en rampant. Tout au fond et dans le plafond, une tache de lumière révèle le passage du jour par un petit orifice. On verra plus bas qu’il ouvre dans un autre tunnel en amont.

Fig. 22 : La seconde arrivée d’eau par le biais d’un modeste tuyau.

Cette ostentatoire arrivée d’eau est associée à une autre plus discrète que montre la photo 22 (en plongée). Il s’agit d’un tuyau en terre cuite sortant du mur dominant en pierres sèches dans le coin nord-est. Quand on corrèle ce montage à ceux observés dans divers autres réservoirs, on peut commencer à se demander pour de bon si l’hypothèse d’alimentation de dépannage émise au début de cette étude ne mérite pas d’être prise en compte de façon appuyée.

Fig. 23 : Structure au bas de la paroi nord.

On n’en a pas fini avec les gadgets de 007. Quand on passe à l’extérieur de la paroi nord, on se trouve devant une petite structure construite au bas de ce mur (Figure 23). À première vue on la prendrait pour un banc. Quand on regarde en dessous, dans les deux logettes on trouve des conduits qui suivent le bas de la paroi du réservoir à travers le pilier du milieu et celui de droite. Probablement alimentés par un conduit venant du fond de la cuve, ils pouvaient diriger de l’eau vers une rigole partant vers l’ouest et la terrasse inférieure. Mais dont je n’ai pas trouvé trace…

Fig. 24 : Les tunnels de sources complémentaires. L’image est déformée sur la droite par l’effet de panorama.

Sur la photo 23, on distingue en bas à gauche les premières marches d’un bon escalier qui conduit à la terrasse dominante à l’est. Et là, les surprises continuent comme on le voit sur le panorama 24 qui représente le mur de soutènement de la terrasse dominante suivante. À gauche apparaissent deux ouvertures de tunnels superposées. La plus grande, au-dessus, a l’apparence classique d’un débouchement de source bâti de la façon trapézoïdale, la plus sobre (mais solide) qu’on peut rencontrer. La figure 25 en fournit une vue intérieure. Je ne saurais dire si le fond est d’origine la fin de la fouille ou s’il correspond à un effondrement d’un tunnel plus profond. Sa profondeur est d’environ 2,3 m. Le tunnel inférieur, de section plus faible, présente sur le côté gauche une rigole. Toutes mesures faites, c’est elle qui va déboucher dans le premier tunnel de la paroi Est de la cuve (la tache de lumière).

Fig. 25 : L’intérieur du tunnel supérieur.

 

Fig. 26 : Dessin perspectif du réservoir No 7.

Devant ces deux tunnels, quelques marches permettent d’accéder, vers la gauche, à une rampe qui mène à la terrasse dominante. À 3 m des précédents tunnels, elle en côtoie un autre, visible sur la figure 24. De section encore plus petite (40 x 40 cm2), il s’enfonce à environ 2 m et je n’ai pas pu déterminer ce qu’il desservait en aval. Peut-être la seconde amenée d’eau par tuyau de la cuve. Au final, tout cet ensemble pose beaucoup de questions et la compréhension de son fonctionnement demanderait un diagnostic de professionnel.

Réservoir N° 8 dit de la maisonnette

C’est un réservoir de grande taille puisqu’il offre un volume utile de L 7 X l 3 X h 2 = 43 m3. Une telle capacité ne peut avoir été décidée au hasard, ce qui incite à penser à un rôle particulier dans le réseau. Cette impression est renforcée par le fait qu’il est bordé et surplombé à l’est par la ruine d’une maisonnette décrite plus bas et qui pose elle aussi problème.

Fig. 27 : Le réservoir No 8 vu du sud et le mur ouest de la maisonnette.

 

Fig. 28 : structure inclinée sur la paroi Est dela cuve.

Sur la figure 27 on voit le réservoir photographié depuis le sud et on aperçoit à droite le mur de la maisonnette et ses ouvertures donnant sur le bassin. La paroi Est de la cuve a une épaisseur de l’ordre de 80 cm. Elle comporte une curieuse structure dont on peut voir un gros plan en figure 28. Je l’avais d’abord prise pour une sorte de déversoir mais il faudrait que cette dépression tienne toute la largeur du mur. On peut difficilement penser à un plan incliné de lavage comme dans le réservoir 2. En effet, l’opérateur ne pouvait s’installer à gauche du mur puisque celui-ci a à cet endroit plus de deux mètres de hauteur et n’a jamais comporté de plateforme comme un simple examen le démontre. L’interrogation demeure.

Fig. 29 : L'arrivée d'eau au-dessus du mur sud.

Une arrivée d’eau se faisait au-dessus du mur sud, par un conduit dont on voit le débouchement en figure 29 (en haut, à gauche, à travers le muret en pierre sèche qui couronne la margelle), ainsi que l’escalier d’entretien en lames de lauzes. On verra plus bas le trajet tarabiscoté que suivait l’eau pour parvenir là. Par contre les constructeurs ont choisi une solution techniquement élégante pour commander avec le même accessoire le prélèvement d’eau pour la terrasse inférieure et la vidange du réservoir. En bas du même mur ouest, une petite niche recèle un superbe robinet en bronze (ou laiton).

 

Fig. 30 : Porte nord de la maisonnette.

 

Fig. 31 :  Cheminée réservée dans le mur.

La maisonnette est aussi longue que le réservoir mais étroite. Aux deux extrémités étaient aménagées des portes. Celle du côté nord a conservé son panneau que je n’ai pas ouvert, bien maintenu qu’il est par l’accumulation de feuilles mortes et peut-être aussi des débris d’effondrement de la toiture (figure 30). En contournant la construction, on découvre qu’il y avait de ce côté des acheminements d’eau. On notera que ce panneau laisse à son sommet un jour notable, ce qui plaide contre la destination du bâtiment à des fins d’habitation, au moins durant la mauvaise saison.

Fig. 32 : Conduit de la cheminée à l'intérieur du mur.

La maison est, appuyé au mur de soutènement de la terrasse dominante. Le mur ouest comporte près de ses extrémités deux ouvertures dont il n’est pas possible de savoir si elles étaient munies de vantaux. Entre les deux et en bon état a subsisté une petite cheminée (figures 31 et 32) dont le canon monte à l’intérieur du mur. Sur la figure 31 on remarque une petite ouverture vers le bassin et, posés dedans, des fragments de tuyau en poterie. Je ne suis guère convaincu qu’il s’agisse d’une traversée de conduit aménagée là pour une raison obscure. Je crois plutôt à une dégradation du mur dans laquelle quelqu’un a posé le tesson en question.

 

Fig. 33 : Descente verticale.

 

Fig. 34 : Le bassinet de réception.

La structure complète de l’amenée d’eau demande qu’on monte sur la terrasse dominante. On découvre alors, contre le mur soutenant la dominante suivante l’ensemble complexe visible en figures 33 et 34. Vers le haut du mur sort un coude en poteries cimentées. Suit une descente verticale qui venait se consolider en appui sur une lauze perforée sertie dans le mur. Sa partie inférieure s’est dissociée, du fait, probablement, du descellement de la lauze.

En dessous, posé sur la terrasse, un bassinet recueillait la chute d’eau. Il est encore en bon état, construit en lauzes cimentées (figure 34) et offre deux sorties opposées, des tuyaux en terre cuite traversant le ciment des parois nord et sud.

Comme on peut le voir sur la figure 34, le bassinet ne se prêtait pas au prélèvement d’eau avec un seau : on ne disposait pas d’une hauteur libre suffisante. Il devait donc seulement faire office de répartiteur vers l’une ou l’autre sortie. Le hic est que je n’ai pas, pour l’instant et faute d’avoir fouillé dans l’humus, repéré de canaux partant de là. Il est d’ailleurs probable qu’il s’agissait plutôt de conduits enfouis comme le laisse soupçonner l’observation suivante.

Une autre exploration du coin m’a permis de trouver le conduit d’amenée d’eau à ce déversoir. Il s’agit de l’assemblage de tuyaux de terre cuite cavalièrement posés sur un escalier en lauzes et que j’ai évoqué dans la page relative aux tuyaux industriels. Les doutes émis sur sa fiabilité revêtent toute leur valeur quand on remarque qu’il desservait un réservoir d’une importance stratégique…

Fig. 35 : Déversoir.

A 7 m au SSW du bassinet, le mur surplombant la terrasse de la maisonnette laisse le passage, à quelques 30 cm en dessous de son sommet, à un déversoir (figure 35). Sa destination la plus vraisemblable serait d’alimenter le réservoir 7 situé dans cette direction mais on peut se demander s’il ne desservait pas aussi le réservoir 8 bien qu’il soit à 18 m de là. En fait la desserte la plus indiquée serait une suite de conduits partant de la sortie nord du bassinet. À fouiller.

Fig. 36 : Le canal en banquette sous le réservoir No 8.

Le réservoir 8 est décidément source d’interrogations. Juste sous le coin sud-ouest, le mur comportait un escalier aujourd’hui très dégradé menant en son bas à une banquette soutenant un canal en lauzes (figure 36) qui part en pente vers le sud. Etait-ce une alternative au déversoir de la figure 35 ? Ou bien le réservoir était-il un nœud important de redistribution de l’eau vers plusieurs directions ? Il serait judicieux de procéder à quelques fouilles pour établir un graphe du réseau allant au-delà des suppositions peu documentées. D’autant plus que le bassinet de la figure 34 desservait très vraisemblablement un déversoir trouvé à l’angle nord-est de la maison. Il devait envoyer à un déversoir suivant, passant sous l’angle nord-ouest, de l’eau qui tombait… dans la cuve. Enfin une exploration sommaire et à faible distance des terrasses proches, au nord de l’ensemble, m’a fait tomber en arrêt sur un tronçon de canal qui aurait, lui aussi, pu recevoir de l’eau du dernier déversoir ci-dessus.

Fig. 37 : Lauzes jointives courant sur toute la longueur du bâtiment.

Dernière devinette : au bas du mur de la maisonnette, entre lui et la margelle, une série de lauzes jointives saillent sur toute la longueur du bâtiment. Peu visibles sur la figure 27, elle apparaissent bien sur la 37. Elles font d’abord penser à un canal suspendu. Mais à quoi aurait bien pu servir celui-ci dans un contexte fourmillant déjà de conduits ? Ensuite on évoque un passage pédestre suspendu comme il en existe un à Navaccela pour atteindre une parcelle enclavée sans gaspiller des mètres carrés de bon terrain. Ce serait idiot alors qu’on n’a qu’à traverser la maisonnette. Ma seule hypothèse est celle d’un ancien canal suspendu ensuite désaffecté lors de la construction du bâtiment et des conduits. Avec quand même une remarque dubitative : un canal suspendu sans lames de soutien/réglage insérées dans le mur ?

Réservoir N° 9

Il est très proche de la route et sensiblement sur la même ligne de pente que le réservoir 30 de Cane Mortu, ce qui permet d’avancer l’hypothèse d’une liaison via un conduit passant sous la route. Il mérite aussi le qualificatif d’élégant de par lui-même et aussi par ses « périphériques ». Enfin c’est un des rares à avoir conservé assez d’étanchéité pour retenir encore un certain niveau d’eau.

Fig. 38 : Vue générale du réservoir No 9 avec ses deux piliers de ciment armé.

On en a en figure 38 une vue générale bien gâchée par l’arbre mort qui s’est abattu en amont et qui cache la jolie arrivée d’eau qu’on verra plus bas. Le réservoir est bâti sur une pente assez forte. Sa paroi Est se trouve donc à fleur de terrain alors que l’ouest le domine de 2,40 m. Pour ce qui est de la capacité, elle est modeste, de l’ordre de 6 m3.

L’œil est d’abord attiré par les deux piliers cimentés (armés ?) visibles à droite. Il est possible qu’ils aient servi à fixer des barres en bois comme celle qu’on aperçoit vers la paroi sud et qui est demeurée en place malgré le temps passé. Elle devait constituer une barrière de sécurité pour les utilisateurs et peut-être aussi pour le bétail errant. Elle devait être associée à celle fixée au coin sud-est et qui pend dans le bassin. On distingue près du côté nord ce qui pouvait être une troisième barre maintenant complètement décrochée.

Les piliers n’ont pas eu, me semble-t-il, un rôle purement utilitaire, sans quoi il eut suffi de ménager dans les parois des trous borgnes et d’y planter des piquets en bois. La forme pyramidale allongée relève probablement d’un souci esthétique.

Fig. 39 : La voûte de l’arrivée d’eau.

 

Fig. 40 : Canal cimenté.

L’arrivée d’eau se faisait (se fait encore ?) à l’est, en direction de la route. Un tunnel peu profond débouche sous une belle petite voûte (figure 39) dont la clé porte la date 1934, de construction ou de rénovation. Suit un canal cimenté (figure 40) qui aboutit au bassin mais comporte une dérivation vers le sud dont je n’ai pas déterminé la suite du cheminement.

Fig. 41 : La face ouest du réservoir.

A l’ouest (figure 41), le haut du mur est percé d’une surverse dont on voit l’orifice circulaire. Au pied, un bassinet évoque celui du réservoir 8 en plus modern-style. Une vue en gros plan figure en 42. L’ensemble est en lauzes cimentées. Il comporte d’abord le dispositif de sortie en fond de bassin, pourvu d’un bouchon vissé en bronze ou laiton identique à celui du réservoir 2. L’écoulement est guidé par une sorte de canal/bec vers le bassinet proprement dit qui, tout comme celui du réservoir 8, dispose de deux tuyaux de sortie opposés. Je n’ai pas trouvé – au cours d’une recherche rapide – de canal partant de l’un ou l’autre.

Fig. 42 : Le bassinet du réservoir 9.

Que devenait l’eau de surverse ? L’orifice visible en 41 est bien à la verticale du bassinet. On pourrait supposer qu’on la laissait chuter à sa guise. Je n’y crois guère car cette solution facile aurait conduit à des pertes par ruissellement au long du mur ou par chute en dehors du bassinet. Or éviter le gaspillage était la première règle de gestion de l’eau. Il pouvait donc y avoir au long du mur un conduit en terre cuite ou autre fibro-ciment. Je n’en ai pas trouvé trace de fixation ni de débris sur le sol.

Le réservoir No 32

Quatrième sur ma liste des réservoirs « complexes », il se situe nettement au-dessus de la route, au lieu-dit Muscatellu. Comme plusieurs autres, il est implanté dans une zone de forte déclivité (Figure 43) et d’affleurements rocheux. Il atteint cependant une capacité de l’ordre de 45 m3. Les murs, robustes, ont une épaisseur d’un mètre.

Fig. 43 : Le réservoir No 32 depuis l'aval.

On en trouve un dessin perspectif sur la figure 44. Il permet de décrire certaines caractéristiques de l’ouvrage. Pour se faire une idée de l’importance de l’ouvrage, on se dira que l’arête verticale à l’avant de la photo est haute de 3,30 m.

Fig. 44 : Dessin perspectif.

Tout d’abord ce qui se trouve en aval. En bas, dans le mur sud du réservoir, une logette aménagée dans la paroi sert non seulement de vidange mais aussi d’ouverture de distribution de l’eau. On n’y voit pas de robinet mais il a peut-être été prélevé. Il fallait en tout cas commander cette évacuation qui se connecte à un conduit logé dans le muret cimenté moussu qu’on voit à droite de la photo 43. À son extrémité, il tourne vers la pente en débouchant par le petit orifice noir tout en bas à droite du dessin. Et là les questions débarquent : ni Jean-Sylvestre Nugues ni moi n’avons à ce jour déniché de canaux ou conduits en aval. Or la grande capacité de la cuve et le mal que les constructeurs se sont donné pour l’alimenter, comme on le verra plus bas, impliquent que ce système irriguait une forte surface qui en valait la peine...

Fig. 45 : Canal d'amenée d'eau.

Passons en amont. Vers le haut du dessin, en fait dans l’angle nord-est, un déversoir envoyait à la cuve l’eau qu’un conduit amenait à travers le muret empêchant les éboulis de la pente dominante d’y tomber. En remontant plus haut, on est amené à suivre sur des hectomètres un replat du terrain, parfois insignifiant, qui pourrait passer pour un petit chemin. J’avais soupçonné à ma première visite qu’il s’agissait en fait d’un canal d’amenée d’eau, ce qui a été confirmé par J.-S. Nugues et d’autres habitants.

On comprend bien que je vais retourner sur place pour scruter mieux encore les terrasses et les murets pour résoudre la question posée plus haut. On peut aussi espérer que des documents d’archives relatifs au droit des eaux pourraient éclairer quant aux terrasses

Adresses utiles :

(1) Association des amis du site de Nonza, siège social : 20217 NONZA

(2) jeanpierreguillet[at]free.fr


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© CERAV
Le 18 avril 2010 / April 18th, 2010

Référence à citer / To be referenced as :

Jean-Pierre Guillet
Dispositifs d'irrigation à Nonza au Cap Corse (Haute-Corse) (Irrigation Devices at Nonza in the Cap Corse Region, Haute-Corse)
14 - Les réservoirs (2e partie) (Water Tanks, Part 2)
http://www.pierreseche.com/reservoirs_2.htm
18 avril 2010

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