LES CABANES EN PIERRE SÈCHE DE JOUQUES (BOUCHES-DU-RHÔNE)

The dry stone huts of Jouques, Bouches-du-Rhône

Texte et photos de Jean Laffitte

Le recensement des constructions en pierre sèche de Jouques, effectué de 2000 à 2003 par Michel James et moi-même, a livré une centaine de constructions. Il s’agit, à 98 %, de cabanes qui ont une voûte encorbellée et sont désignées aujourd’hui du terme impropre de « borie ». Ces cabanes, désormais abandonnées et cachées dans les bois, sont éparpillées sur une bonne partie du territoire de la commune, rappelant le passé agricole du village. Elles ont une architecture un peu particulière, différente de celle des autres communes des Bouches-du-Rhône, voire de Provence.

Photo 1 : Façade d'une cabane parallélépipédique. Les besaces d'angle sont faites d'énormes blocs. Des blocs de pression  lestent le haut du corps de base. Le couvrement est, en l'état actuel, un petit cône curviligne de pierraille (cf. photo 7).

 

Photo 2 : Cabane en forme de cylindre au sommet bombé planté d'iris (cf. photo 6). Le linteau porte, inscrit, le millésime 1850 précédé des lettres  A R (cf. photo 14).

1. LOCALISATION

Les cabanes sont implantées sur une grande partie de la commune, la majorité d’entre elles se situant en bas du village dans les quartiers de Saute-Lièvre, Ratacan, Derrière la Colline, Citrani, Le Cannet, Pey Gaillard, le chemin de Catalan. On en trouve aussi sur le plateau de Bèdes, notamment aux quartiers du Vallon de Castagne, de Campoumal, de Courneirone.

Beaucoup de celles qui sont en bas du village, sont aujourd’hui dans des propriétés privées. Les autres sont éparpillées dans la nature et souvent d’accès difficile.

2. UTILISATION

Situées en bordure de champs ou de bancaus (terrasses) autrefois cultivés, ces constructions avaient une fonction agricole. Les paysans qui devaient se rendre, parfois loin du village, pour cultiver leur parcelle de terre, avaient besoin d’un abri ou d’une remise.

Elles sont le résultat d’un long et fastidieux travail d’épierrage des champs fait en partie par les femmes et les enfants, qui transportaient les petites pierres dans des paniers d’osier, l’homme se chargeant du transport des plus grosses pierres (à l’aide d’un mulet) et de la construction de l’édifice.

Elles servaient essentiellement de remise à outils, d'entrepôt des récoltes et d’abri pour l’homme, lors des semailles et des moissons. Certaines d’entre elles sont assez grandes pour abriter aussi un mulet, comme l’atteste la présence à l’intérieur, d’un anneau en pierre (pierre trouée) ou en fer encastré dans la paroi et servant à attacher une bête de somme, voire d’une auge taillée dans la pierre permettant d’y faire boire l’animal.

Nous sommes en présence non pas de cabanes de bergers, mais bel et bien de cabanes d’agriculteurs comme toutes celles de Provence ou d’ailleurs.

Photo 3 : Anneau en fer planté dans la paroi de la cabane de la photo 2.

3. ARCHITECTURE

Toutes les cabanes sont monocellulaires, c’est-à-dire ne comportent qu’une seule pièce. Une exception se rencontre sur le plateau de Bèdes, au lieu-dit La Fautrière, où existe un ensemble de deux pièces formé d’une cabane venue s’accoler à une première.

Elles sont toutes isolées les unes des autres et ne forment pas de hameau.

3.1 Architecture extérieure

Sur la centaine de cabanes recensées, 43 sont de plan circulaire, 50 de plan plus ou moins carré et 7 autres ont des plans différents.

Photo 4 : Cabane en forme de cylindre à fruit. Sur le dessus une couche de terre avec quelques graminées. Le linteau de l'entrée porte, gravé, l'inscription (humoristique ?) ""LE BORIS" (cf. photo 17).

 

Photo 5 : Cabane en forme de parallélépipède. La couche de terre du couvrement abrite une colonie d'iris qui n'est peut-être pas d'origine.

3.1.1 Les toitures

De nombreuses toitures sont pourvues d’un tapis végétal souvent planté d’iris. À l’époque de leur floraison, aux mois d’avril et mai, c’est un véritable enchantement pour l’œil de voir ces constructions couvertes d’une multitude d’iris en fleurs. Il ne s’agit pas d’un phénomène unique puisque on en trouve aussi quelques exemples dans l’Hérault, le Gard (à Congénies, à Villevieille).

Photo 6 : Toiture de terre plantée d'iris (cf. photo 2).

Ces iris ont été plantés non pas pour embellir l’édifice mais pour en consolider la couverture et pour protéger cette dernière de l’infiltration des eaux de pluie. Comme la plupart des cabanes ont une voûte clavée (pierres inclinées vers le sol), il est évident que, lorsqu’il pleut, l’eau ruisselle à l’intérieur et l’étanchéité n’est plus assurée. Une solution était alors de recouvrir la toiture de rhizomes d’iris, qui absorbent beaucoup d’eau.

Il reste à savoir si la plantation d'iris n'est pas une initiative récente, car d'autres cabanes se contentent de graminées sauvages.

Photo 7 : Couvrement de la cabane de la photo 1. Il comportait peut-être à l'origine une couverture de pierres plates car, en l'état, l'intérieur de l'édifice n'est pas étanche.

3.1.2 Les portes

Elles sont soit en arc clavé, en arc clavé surbaissé (platebande) ou avec linteau. Nous n’avons trouvé aucun linteau en bois, tous sont en pierre. Les portes ont une largeur moyenne d’environ 0,90 m pour une hauteur moyenne d’1,50 m. Quelques cabanes ont les piédroits de l’entrée en pierres de taille, certainement des pierres de réemploi provenant d’un autre bâtiment.

Photo 8 : Entrée couverte par un arc clavé renforcé par un deuxième (cf. photo 1). La clef de chaque arc est un bloc en forme de coin.

3.2 Architecture intérieure

Les cabanes de Jouques ont une hauteur intérieure moyenne de trois mètres. Un tiers d’entre elles ont une hauteur supérieure à trois mètres.

Le plus souvent bâties sur un socle rocheux, elles sont de plan intérieur carré ou circulaire.

3.2.1 Les voûtes

Les voûtes sont construites soit en encorbellement, soit par clavage en plein cintre.

Photo 9 : Voûte mouillée par les infiltrations de pluie (cf. cabane de la photo 4).

La voûte encorbellée est construite de la façon suivante : à partir d’une hauteur d’un mètre environ, des pierres plates (lauses) sont posées de façon circulaire le long du mur, dépassant d’un tiers vers l’intérieur et de deux tiers vers l’extérieur. Ces lauses sont disposées penchées vers l’extérieur de façon à empêcher les eaux de pluie de pénétrer dans la cabane. On pose ensuite une autre rangée de lauses selon le même principe, puis une autre, et ainsi de suite. Le cercle se referme petit à petit jusqu’au sommet où une grosse pierre plate fera office de dalle de couverture et fermera ainsi la voûte. Le tout est recouvert de pierres servant de blocage au fur et à mesure que l’on monte, empêchant les lauses de s’écrouler vers l’intérieur. On a donc un système de deux « peaux » de pierres.

Une autre particularité de Jouques est la construction de voûtes clavées. En effet, on trouve sur la commune un nombre important de cabanes dont les voûtes sont clavées, c’est-à-dire que les pierres formant la voûte sont posées non pas à plat mais de chant (debout) vers l’intérieur, comme si elles allaient tomber. Cette façon de construire nécessitait l’emploi d’un cintre en bois.

On trouve aussi un grand nombre de cabanes dont les pierres de la voûte encorbellée sont inclinées vers l’intérieur. Cette façon de réaliser une voûte est relativement rare. Il n’existe que très peu de cas similaires, seuls quelques exemplaires ont été signalés dans l’Hérault et le Gard. Il s’agit là d’une véritable prouesse technique. Ceci montre une fois de plus que les paysans étaient non seulement agriculteurs, apiculteurs, bergers, mais aussi des bâtisseurs passés maîtres dans l’art de construire à sec.

3.3 Aménagements extérieurs

3.3.1 Les escaliers

De nombreuses cabanes possèdent des escaliers volants permettant d’accéder facilement à la couverture. Il s’agit de plusieurs pierres saillantes incluses dans la construction soit à l’arrière de la cabane, soit sur le côté.

Photo 10 : Pierres saillantes servant d'échalier pour monter sur le toit.

Pour celles qui sont construites adossées à une restanque, un escalier latéral composé de quelques marches permet d’accéder à la terrasse.

On rencontre un autre style d’escalier, unique en son genre, sous la forme d’une rampe d’accès avec plusieurs marches située à l’arrière d’une grande cabane.

3.3.2 Les logettes-placards

Une ou plusieurs niches bâties dans le mur servaient à entreposer de la nourriture, une cruche, ou quelques outils. Ces aménagements extérieurs sont très rares; on en trouve sur une seule cabane, située au chemin de Saint Julien. Il s’agit de deux niches exposées au Sud, distantes d’un mètre environ et construites à 1,30 m de hauteur.

3.3.3 Les banquettes

Sur le côté droit ou gauche de la porte d’entrée voire sur les deux, le bâtisseur a pris soin de construire un petit muret épousant la forme de la cabane et sur lequel plusieurs personnes pouvaient s’asseoir.

3.4 Aménagements intérieurs

3.4.1 Les cheminées

Il s’agit aussi d’un cas particulier à Jouques et qui mérite d’être souligné, puisque environ huit cabanes sur dix sont pourvues d’une cheminée !

Celles-ci généralement sont bâties dans le mur au ras du sol et ont leur élévation en forme de trapèze. Un conduit traverse le mur jusqu’à la toiture et permet d’évacuer la fumée. Ces cheminées ont une hauteur moyenne d’un mètre.

Photo 11 : Ouverture d'une cheminée incluse dans la paroi.

D’autres sont bâties en hauteur, à environ un mètre du sol, dans l’angle d’une banquette par exemple.

L’hiver étant la période où les paysans épierraient, bâtissaient, entretenaient et restauraient les murs et les cabanes, ces cheminées devaient être appréciées lors des périodes de grand froid assez fréquentes sur Jouques.

3.4.2 Les logettes-placards

Elles servaient à y poser une cruche, de la nourriture ou quelques outils. Il y en a le plus souvent une seule mais, dans les grandes cabanes, on peut en trouver jusqu’à trois.

Photo 12 : Niche  au couvrement clavé.

3.4.3 Les fenestrons

Ces ouvertures permettaient de recevoir de la lumière mais aussi et surtout d’observer dehors sans être vu, ce qui est très utile pour la chasse ! Ces fenestrons sont construits en forme de meurtrière, une petite ouverture à l’intérieur et une plus grande à l’extérieur, ce qui permettait au chasseur d’avoir un angle de vue plus important. N’oublions pas que l’agriculteur était aussi chasseur !

3.4.4 Les banquettes

Peu nombreuses sont les cabanes qui ont une banquette intérieure. Celle-ci est en général bâtie non loin de la cheminée, contre le mur.

3.4.5 Etage

Des trous de boulins encore visibles, à une hauteur d’environ 1,80 m, sur quelques grandes cabanes (La Baume, Le Cannet, Chemin de Catalan), permettaient de recevoir des poutres en bois sur lesquelles étaient disposées transversalement des lattes plus larges recouvertes de lauses. On y accédait par une échelle.

4. ETAT GÉNÉRAL

Si on a l’habitude dans les départements voisins, voire dans d’autres communes du département, de trouver de nombreuses constructions en mauvais état, voire en ruine, ce n’est pas le cas des cabanes de Jouques, puisque seulement cinq d’entre elles sont écroulées ! Bien sûr cela ne veut pas dire qu’elles sont toutes en bon état, loin de là. Par contre, on peut conclure de leur bon état de conservation que leur construction doit être récente et s’étaler entre la fin du XVIIIe et la fin du XIXe siècle. Ce qui nous amène tout naturellement à nous intéresser aux dates trouvées sur ces constructions.

5. DATES ET INSCRIPTIONS

5.1 Dates

Les nombreuses dates gravées semblent toutes corroborer le fait que les cabanes ont été construites au XIXe siècle. Il faut bien sûr rappeler que ces dates ne sont en aucun cas une preuve absolue de leur construction. Elles peuvent indiquer un changement de propriétaire ou une restauration.

Seules les dates gravées sur une pierre à l’extérieur de l’édifice, soit au-dessus de la porte lorsque celle-ci est dotée d’un arc clavé, soit sur le linteau, indiquent certainement leur date de construction.

Voici un tableau des différentes dates et inscriptions trouvées lors du recensement.

No

DATE

LIEU DIT

SUPPORT

       
1 1742 La Métairie

Linteau

2 1748 Ratacan

Intérieur du tableau à droite de l’entrée (remploi)

3 1760 Ratacan

Intérieur du tableau à droite de l’entrée (remploi)

4 1781 Derrière la Colline

Pierre extérieure à gauche de l’entrée

5 1814 Chemin de Catalan

Intérieur du piédroit de droite

6 1826 Chemin de Catalan

Angle d’un muret

7 1833 Petit Campoumal

Sur une pierre à l’intérieur

8 1835 Ratacan

Intérieur du tableau à gauche en rentrant

9 1838 Petit Campoumal

Sur une pierre à l’intérieur

10 1839 Couloubleau

Sur le linteau d’une niche à l’intérieur

11 1841 Chemin de Catalan

Intérieur du piédroit de gauche

12 1849 Chemin de Catalan

Sur une pierre à l’intérieur

 

Photo 13

 
13 1850 Derrière la Colline

Sur une pierre à l’intérieur

14 1850 Chemin de Ratacan  
 

Photo 14

 
15 1853 Route du Camp de Méry

Clef de voûte au-dessus de l’entrée

 

Photo 15

 
16 1860 Vallon de Reynaud

Linteau

17 1868 Chemin de Ratacan

 

18 1877 Courneironne

Au-dessus du linteau

19 1882 Chemin de Catalan

Sur une pierre à l’intérieur

20 1902 Chemin de Catalan

Sur une pierre à l’intérieur

 

Photo 16

21 1928 Chemin de Catalan

Sur une pierre à l’intérieur

Il faut noter que sur ces 21 dates, 20 sont gravées sur des cabanes et une seule sur la pierre d’angle d’un muret.

Il faut aussi signaler une autre particularité importante, à savoir que trois cabanes possèdent à elles seules onze dates ! Celle du chemin de Catalan en comporte six (1814, 1841, 1849, 1882, 1902 et 1928), celle du chemin de Ratacan en possède trois (1748, 1760 et 1835) et une autre sur le chemin de Ratacan présente deux dates (1850 et 1868).

Quatre dates seulement sont du XVIIIe siècle, dont les trois premières (1742, 1748 et 1760) sur des pierres de remploi provenant de maisons ou de fermes du village.

Ce tableau montre que les cabanes ont toutes été utilisées, et très certainement construites, après 1789, période d'appropriation des terres par les paysans, engendrant un nouveau morcellement cadastral.

5.2 Inscriptions diverses

Une inscription « LE BORIS » (récente, puisque la généralisation du terme « bori », ici affublé d’un s de terminaison, ne date que du début XXe siècle) est gravée sur le linteau d’une cabane du quartier de Citrani. La voûte de cette construction est malheureusement aujourd’hui en train de s’effondrer.

Photo 17 : Linteau sur lequel est gravée l’inscription : « LE BORIS ». Peut-être une allusion à l’article de David Martin « Les boris de Provence« , paru en 1912 dans Annales de Provence et une des étapes dans l’établissement de cette appellation fantaisiste. Certains ont pu croire que le singulier était non pas « bori » mais « boris »... Rappelons qu'en provençal le pluriel de «  bori» est identique au singulier : « li bori ».

Le claveau de la porte d’entrée d’une cabane du quartier du « Défend », située à l’ « Impasse de la Borie » (!), est gravé d’un visage moustachu du plus bel effet. Mais il s’agit là d’une pierre de réemploi, tout comme l’ensemble des pierres formant les piédroits de la porte, provenant d’une autre construction.

6. AUTRES CONSTRUCTIONS

6.1 Apiculture

Au quartier des Estrées, un apier creusé dans une falaise calcaire comporte environ une quarantaine d’alvéoles exposées plein Sud, sans doute destinés à recevoir des essaims. Au milieu de cet apier, une grotte aménagée, accessible par un bel escalier permettait à l’apiculteur d’y entreposer son matériel.

Au quartier de La Baume, un mur d’abeilles, de facture rustique, laisse apparaître une douzaine de niches dans lesquelles l’apiculteur abritait des ruches exposées au Sud-Ouest.

Un autre mur d’abeilles, comportant sept niches disposées plein Sud, est visible au quartier Saint Honorat.

6 .2 Pastoralisme

Un enclos et deux petites cabanes attenantes sur le plateau de Bèdes sont les seules constructions liées au pastoralisme que nous ayons trouvées.

7. CONCLUSION

Le présent article est un rapide survol de l’inventaire des constructions en pierre sèche déposé auprès de l’association « Les Amis de Jouques ». Il permet d’apprécier toute la richesse et l’intérêt architectural de ces cabanes. Mon seul souhait est que ce travail continue, non seulement sur le terrain (beaucoup d’autres cabanes restent à découvrir !) mais aussi en étudiant les vieux cadastres, les actes notariés, etc. Ce travail, tout aussi fastidieux, reste à faire, afin de mieux comprendre l’implantation et l’architecture de toutes ces constructions et du rôle qu’elles ont joué dans la vie rurale de Jouques.

Remerciements

Merci à tous ceux qui ont participé à ces recherches :
- aux résidents de l’ADAPEI AM (Association des Amis et des Parents de l’Enfance Inadaptée des Alpes-Maritimes) du Foyer de La Madeleine de Nice et des structures d’habitat Nice-Est sans qui cette aventure n’aurait pas eu lieu;
- à Michel James, grand homme de terrain et principal découvreur;
- à Michel Guitton, de l’ASPPSV (Association pour la Sauvegarde du Patrimoine en Pierre Sèche Varois).

Merci aussi à Mme et M. Renaux et Mme et M. Congès de l’Association « Les Amis de Jouques ».

Remerciements tout particuliers aux propriétaires qui nous ont ouvert leur porte avec tellement de gentillesse et sans qui ce recensement n’aurait pu se faire !

Un document, en quatre volumes, sur l’inventaire des constructions à usage agricole de Jouques, a été remis à l’Association des « Amis de Jouques ». Il est disponible auprès de Madame Renaux pour ceux qui souhaiteraient continuer cet inventaire (qui n’est pas terminé) ou étudier ces constructions.

Bibliographie

- Christian Lassure et Dominique Repérant, Cabanes en Pierre Sèche de France, Edisud. 2004 (avec une cabane de Jouques sur la couverture !)
- Revue L’Architecture Vernaculaire.

Jean Laffitte (membre correspondant du CERAV - Centre d’Etudes et de Recherches sur l’Architecture Vernaculaire - courriel : j.laffitte[at]orange.fr) (†)


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Mis en ligne le 24 décembre 2007 / Posted on December 24th, 2007

Référence à citer / To be referenced as :

Jean Laffitte
Les cabanes en pierre sèche de Jouques (Bouches-du-Rhône) (The dry stone huts of Jouques, Bouches-du-Rhône)
http://www.pierreseche.com/cabanes_de_jouques.htm
24 décembre 2007

 

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